Pays de Redon et Vilaine
Il existe un dynamisme et une demande dans le pays tant pour l’enseignement bilingue, les loisirs pour les enfants que pour la vie culturelle ; toutefois des questions de structuration empêchent le pays de progresser, dans le domaine de l’enseignement essentiellement. |
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Pays de Pontivy
Les évolutions des dernières années montrent que le pays est en train de perdre son élan, alors que le précédent diagnostic montrait une importante dynamique. Les modes d’apprentissage autre que l’enseignement bilingue ont nettement reculé et le domaine des loisirs et de la vie culturelle n’a pas nettement progressé |
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Pays de Vannes
Le pays de Vannes a rapidement progressé après être resté longtemps en retrait (sur le plan de l'enseignement et de la signalisation bilingue notamment). Il faut poursuivre dans ce sens et professionnaliser le monde associatif. |
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Pays de Morlaix
Le pays de Morlaix a beaucoup progressé au niveau de l’enseignement bilingue, mais est un peu en retard au niveau de la vie publique et sociale |
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Pays de Saint-Brieuc
Les effectifs bilingues de Saint-Brieuc augmentent, des associations actives existent dans le pays, mais la présence de la langue dans la sphère publique reste encore faible. |
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Pays de Guingamp
Le pays de Guingamp se maintient sur le podium pour le nombre de locuteurs, en troisième position. 1 225 personnes sont engagées dans un processus d’apprentissage de la langue. Toutefois il a pris du retard ces dix dernières années dans le domaine de l’enseignement bilingue. On assiste toute de même depuis peu à une amélioration. Mais il est nécessaire de travailler encore et de mettre en place des politiques linguistiques locales plus actives, afin que le pays puisse se maintenir à son rang. |
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Pays du Trégor-Goëlo
Le Trégor-Goëlo présente les taux de scolarisation bilingue et de locuteurs les plus élevés de Bretagne. Ces atouts permettent d’envisager une place de la langue plus importante en dehors du milieu scolaire, dans la vie publique et dans la société dans son ensemble. |
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Pays Blanc et de la Brière
En dehors des cours au collège public et de quelques autres actions (panneaux d’entrée d’agglomérations, troupe de théâtre), l’état de la langue dans le pays reste similaire à ce qu’il était en 2003 quand il n’est pas en recul. Pendant ce temps, le reste de la Bretagne est allé de l’avant. C’est un bilan décevant pour un pays où l’identité bretonne est forte. |
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Pays de Cornouaille
Le pays de Cornouaille a un fort potentiel de développement : depuis 2005, l’enseignement bilingue reprend de l’élan mais il a besoin d’être renforcé dans de nombreux secteurs géographiques (Quimper, Quimperlé, Douarnenez, Pont-l’Abbé, Concarneau, Châteaulin, Rosporden). Dans les autres domaines, la situation a peu changé depuis 2003. |
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Pays de Lorient
Il n’y a pas eu d’évolution significative depuis le dernier diagnostic. L’enseignement bilingue a évolué plus lentement qu’ailleurs, les autres domaines sont stables ou en recul. Pourtant, le pays possède un fort potentiel. |
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Pays d'Auray
Un petit pays dynamique vis-à-vis de la langue bretonne mais qui a besoin de renforcer et d’enrichir ses initiatives. |
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Pays de Brest
Comparé aux autres territoires de Bretagne, le pays de Brest est en avance quant à l’état de la langue bretonne sur tous les terrains. Il s’agit d’en tirer profit pour initier ici de nouvelles avancées pour la langue bretonne. |
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Pays de Rennes
Ce pays se situe à l’avant-garde du développement de la langue bretonne à l’est de la Bretagne, mais des progrès restent à accomplir. |
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Pays de Redon et Vilaine
Un réel désir vis-à-vis de la langue bretonne amène ici une dynamique dont les premiers éléments se concentrent autour de la ville centre pour l’essentiel. |
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Pays de Guérande et de la Brière
Différents indices laissent présager d’un bon développement futur de l’emploi de la langue bretonne encore peu présente ici. |
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Pays de Saint-Malo
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne se concentrent ici autour de la ville centre |
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Pays de Saint-Brieuc
Des avancées restent encore à accomplir dans ce pays pourtant si proche de la zone traditionnellement bretonnante. |
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Pays de Vitré - Porte de Bretagne
Ce pays peine encore à accorder une place à la langue bretonne bien que sa valeur identitaire soit reconnue. |
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Pays de Pontivy
Ce pays fait preuve de dynamisme, mais il a besoin de renforcer et d’enrichir ses initiatives. |
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Île-de-France
En dehors des limites historiques de la Bretagne, l’Île-de-France est la région la plus active en ce qui concerne la langue bretonne (enseignement, culture, etc.). Vous trouverez ici le premier diagnostic de l’état de la langue sur ce territoire particulier. |
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La situation de la langue bretonne dans le Finistère en 2004
Des conditions favorables ont déjà permis des avancées notables dans ce département ; elles ont aujourd’hui besoin de se généraliser et de susciter de nouveaux progrès. |
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Pays du Trégor-Goëlo
Une langue bretonne encore vivace et des données socio-économiques relativement bonnes font le très fort potentiel de ce pays. |
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Pays de Machecoul et Logne
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne restent à mettre en place dans le pays de Machecoul et Logne. |
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L'enseignement en Ille-et-Vilaine en 2008
Rennes reste le pôle principal du département scolarisant le plus d’élèves bilingues dans le premier degré en Bretagne, et accueillant l’université formant le plus d’étudiants en langue bretonne. D’autres pôles commencent à émerger ou sont sur le point de l’être, ce qui permettra de développer la filière bilingue sur le territoire. |
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Ville de Nantes
Le mouvement associatif nantais fait preuve de dynamisme et fait de Nantes un pôle de développement de la langue bretonne, à l’instar de ce qui se passe à Rennes. |
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Pays de Ploërmel Coeur de Bretagne
La langue est présente dans l’enseignement bilingue. Son poids est même élevé dans certaines zones, mais l’on ressent un essoufflement de la dynamique ces 5 dernières années et un manque d’élan, essentiellement à Ploërmel. La langue n’est pas prise en compte en dehors de l’école, si ce n’est sur les routes départementales. Il manque des services à la personne, notamment dans le domaine de la petite enfance. |
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Pays de Nantes
Pour le développement de la langue bretonne, le pays de Nantes fait preuve de dynamisme à l’exemple du pays de Rennes. |
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Pays de Cornouaille
Un potentiel considérable pour le développement de la langue bretonne est ici associé à une dynamique décevante des écoles bilingues. |
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Pays de Brocéliande
Le pays de Brocéliande témoigne un réel intérêt pour la langue bretonne et apparaît comme un pays en devenir. |
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Pays d'Ancenis
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne restent à mettre en place dans le pays d’Ancenis. |
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Pays du Centre-Ouest-Bretagne
La langue bretonne est ici encore assez dynamique malgré un contexte socio-économique qui l’est moins. |
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Pays de Fougères
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne se concentrent ici autour de la ville centre. |
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Pays de Dinan
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne se concentrent ici autour de la ville centre. |
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Pays du Centre-Bretagne
Presque tout reste à faire dans le pays du Centre-Bretagne, à commencer par de la communication et de la sensibilisation. |
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Pays de Chateaubriant
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne restent à mettre en place dans le pays de Châteaubriant. |
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Pays de Guingamp
Ce pays a besoin de confirmer les avancées déjà accomplies ; les collaborations avec le pays du Trégor-Goëlo mériteraient d’être renforcées. |
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Pays de Lorient
Un pays exemplaire à bien des points de vue ; mais les actions restent à renforcer, à diversifier et à étendre plus largement encore. |
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Pays de Morlaix
La langue bretonne fait ici preuve de vivacité, mais elle a besoin que les actions en sa faveur soient complétées et étoffées. |
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Pays de Ploërmel - Coeur de Bretagne
Ce pays connaît un développement de la langue bretonne timide mais réel. |
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Pays de Retz-Atlantique
Quelques éléments positifs (autour de Pornic en particulier) peuvent servir de base à la réalisation de nouveaux développements. |
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Pays de Vannes
Un pays capable de faire preuve de beaucoup d’initiative sur certains points et d’une grande frilosité sur d’autres. |
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Pays de Loire-Atlantique Centre
Quelques éléments positifs peuvent servir de base à la réalisation de nouveaux développements. |
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Pays des Vallons de Vilaine
Les premiers éléments d’une dynamique en faveur de la langue bretonne ne sont pas encore stables dans ce pays. |
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Il existe un dynamisme et une demande dans le pays tant pour l’enseignement bilingue, les loisirs pour les enfants que pour la vie culturelle ; toutefois des questions de structuration empêchent le pays de progresser, dans le domaine de l’enseignement essentiellement. 
Les évolutions des dernières années montrent que le pays est en train de perdre son élan, alors que le précédent diagnostic montrait une importante dynamique. Les modes d’apprentissage autre que l’enseignement bilingue ont nettement reculé et le domaine des loisirs et de la vie culturelle n’a pas nettement progressé 
Le pays de Vannes a rapidement progressé après être resté longtemps en retrait (sur le plan de l'enseignement et de la signalisation bilingue notamment). Il faut poursuivre dans ce sens et professionnaliser le monde associatif. 
Le pays de Morlaix a beaucoup progressé au niveau de l’enseignement bilingue, mais est un peu en retard au niveau de la vie publique et sociale 
Les effectifs bilingues de Saint-Brieuc augmentent, des associations actives existent dans le pays, mais la présence de la langue dans la sphère publique reste encore faible. 
Le pays de Guingamp se maintient sur le podium pour le nombre de locuteurs, en troisième position. 1 225 personnes sont engagées dans un processus d’apprentissage de la langue. Toutefois il a pris du retard ces dix dernières années dans le domaine de l’enseignement bilingue. On assiste toute de même depuis peu à une amélioration. Mais il est nécessaire de travailler encore et de mettre en place des politiques linguistiques locales plus actives, afin que le pays puisse se maintenir à son rang. 
Le Trégor-Goëlo présente les taux de scolarisation bilingue et de locuteurs les plus élevés de Bretagne. Ces atouts permettent d’envisager une place de la langue plus importante en dehors du milieu scolaire, dans la vie publique et dans la société dans son ensemble. 
En dehors des cours au collège public et de quelques autres actions (panneaux d’entrée d’agglomérations, troupe de théâtre), l’état de la langue dans le pays reste similaire à ce qu’il était en 2003 quand il n’est pas en recul. Pendant ce temps, le reste de la Bretagne est allé de l’avant. C’est un bilan décevant pour un pays où l’identité bretonne est forte. 
Le pays de Cornouaille a un fort potentiel de développement : depuis 2005, l’enseignement bilingue reprend de l’élan mais il a besoin d’être renforcé dans de nombreux secteurs géographiques (Quimper, Quimperlé, Douarnenez, Pont-l’Abbé, Concarneau, Châteaulin, Rosporden). Dans les autres domaines, la situation a peu changé depuis 2003. 
Il n’y a pas eu d’évolution significative depuis le dernier diagnostic. L’enseignement bilingue a évolué plus lentement qu’ailleurs, les autres domaines sont stables ou en recul. Pourtant, le pays possède un fort potentiel. 
Comparé aux autres territoires de Bretagne, le pays de Brest est en avance quant à l’état de la langue bretonne sur tous les terrains. Il s’agit d’en tirer profit pour initier ici de nouvelles avancées pour la langue bretonne. 
En dehors des limites historiques de la Bretagne, l’Île-de-France est la région la plus active en ce qui concerne la langue bretonne (enseignement, culture, etc.). Vous trouverez ici le premier diagnostic de l’état de la langue sur ce territoire particulier. 
Rennes reste le pôle principal du département scolarisant le plus d’élèves bilingues dans le premier degré en Bretagne, et accueillant l’université formant le plus d’étudiants en langue bretonne. D’autres pôles commencent à émerger ou sont sur le point de l’être, ce qui permettra de développer la filière bilingue sur le territoire. 
Le mouvement associatif nantais fait preuve de dynamisme et fait de Nantes un pôle de développement de la langue bretonne, à l’instar de ce qui se passe à Rennes. 
La langue est présente dans l’enseignement bilingue. Son poids est même élevé dans certaines zones, mais l’on ressent un essoufflement de la dynamique ces 5 dernières années et un manque d’élan, essentiellement à Ploërmel. La langue n’est pas prise en compte en dehors de l’école, si ce n’est sur les routes départementales. Il manque des services à la personne, notamment dans le domaine de la petite enfance. 
